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Les autorités américaines se comportent comme des faux-monnayeurs en temps de guerre – contre leur propre système économique et monétaire.
Nous avons lu les nouvelles. Nous sommes consterné.
Selon nous, d’ici peu, les Noirs ne seront pas les seuls à vouloir incendier des commissariats de police.
Depuis le pire de la crise de 2008-2009, les 20% de la population américaine au bas de l’échelle – en majeure partie des jeunes et/ou des Noirs – ont perdu 25% de leur richesse.
Le groupe suivant, qui est aussi le plus important – ceux qui ont plus que les 20% au bas de l’échelle, mais moins que les 40% du haut de l’échelle –, a stagné ou à peu près. C’est-à-dire que le plancher a été atteint en mars 2009… et depuis, ces gens n’ont jamais regagné le terrain perdu.
Si bien que 60% de la population américaine est en moins bonne posture qu’en 2007. Parallèlement, les 1% les plus riches ont constaté une augmentation de leur richesse de près de 150%. Cette évolution ne représente-t-elle que « le marché libre à l’œuvre » ? Est-elle juste « arrivée » ? Est-ce que c’est acceptable ?
Une économie de contrefaçon
Selon la presse, le pauvre George Floyd a été menotté… puis tué… parce qu’il a tenté de faire passer un faux billet de 20 $.
Le même jour – comme tous les jours depuis trois mois – la Réserve fédérale en a émis pour 1,5 Mds$.
A présent, nourri par l’oxygène pur de 3 000 Mds$ de fausse monnaie, le S&P 500 a remis les gaz et refranchi la barre des 3 000 points.
Dans le même temps, l’économie US dans laquelle M. Floyd essayait de gagner sa vie suffoque.
Les cadeaux de la Fed à l’industrie financière – y compris des taux d’intérêts artificiellement bas – ont découragé l’épargne et étouffé la sorte de véritable investissement qui aurait pu créer des emplois rapportant de bons salaires.
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