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Pour Patrick Artus: « L’expansion monétaire ne fait que commencer… » dit-il en constatant ce qu’il appelle « l’irréversibilité des politiques monétaires d’expansion des liquidités, même si la croissance revenait »
Pour lui, les déficits liés à la crise du covid vont certainement se poursuivre en 2021, 2022 et au-delà. « D’une part, les besoins de dépenses publiques resteront très importants (soutien aux secteurs en difficulté, chômage élevé, plans de relance, hausse des dépenses de santé…) ; D’autre part, personne ne veut répéter l’erreur commise dans la zone euro à partir de 2011, lorsqu’une réduction trop rapide du déficit public avait contribué à faire rechuter la zone euro en récession : le pic du chômage n’avait été atteint qu’en 2013 ».
En gros Artus pense donc que désormais, il n’y aura plus jamais de normalisation de la politique monétaire.
C’est exactement ce que je dis depuis des années, et c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles il ne fallait pas trop s’inquiéter de la baisse de l’or, car elle n’était que temporaire et était liée à la communication, notamment de la FED, qui faisait croire aux marchés un peu naïfs, que tout rentrerait dans l’ordre.
Rien ne rentrera jamais dans l’ordre.
Nous allons aller au bout de la destruction de nos monnaies actuelles et de notre système monétaire.
Quand cela ne sera plus tenable, il y aura une grande réforme, appelée… « Great reset ».
Charles SANNAT
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