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L’or est un actif protecteur de premier plan dans le contexte actuel. Pourquoi les cours sont bien orientés ? Peut-il corriger à court terme ? Comment l’intégrer dans son patrimoine ? Réponse d’experts.
Début février, c’est le retour de l’inflation qui tirait l’or vers le haut. Depuis un mois maintenant, c’est la guerre en Ukraine. Sur fond de tensions géopolitiques et d’augmentation générale des prix au niveau mondial, le cours du précieux métal jaune s’envole. Au point de flirter avec son plus haut historique de 2.075,47 dollars l’once atteint au plus fort de la pandémie du Covid-19 le 6 août 2020. La preuve s’il en est du caractère de valeur refuge conféré à cette matière première par les investisseurs du fait de sa production géologiquement limitée, et donc de son stock non multipliable à l’envi, à la différence de la monnaie papier.
En 2019, un rapport de l’agence géologique américaine (USGS) estimait en effet les réserves mondiales d’or encore enfouies à 54.000 tonnes. Soit, au rythme d’une extraction annuelle de 3.260 tonnes en 2018, l’équivalent de seulement 16 années de production. Bien que cette menace de pénurie à horizon rapide soit aujourd’hui à tempérer grâce à la découverte depuis d’importants gisements en Egypte (près de 30 tonnes), en Russie (1.134 tonnes), au Niger ou encore au Maroc, l’or demeure néanmoins toujours un actif précieux relativement rare et surtout épuisable.
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