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C’est un fait. Le marché de l’immobilier neuf n’est vraiment pas au plus haut de sa forme. Pour preuve, il suffit d’analyser l’évolution du nombre de prêts accordés pour l’acquisition d’un bien immobilier neuf telle que proposée par l’observatoire crédit logement ces derniers jours.
La situation est inquiétante pour les professionnels de la construction qui doivent attendre avec impatience la fin de cette épidémie afin de chiffrer l’importance de la baisse du marché ou sa capacité de rebond.
La situation est d’autant plus inquiétante que la loi PINEL est toujours en oeuvre avec une réduction d’impôt non négligeable (cf. « Quelle rentabilité pour un investissement locatif PINEL en 2021 ?« ) et que les taux de crédit immobilier restent toujours très faibles (Cf « Barème des meilleurs taux de crédit immobilier analysés par notre courtier en crédit immobilier partenaire« )
Faut il s’attendre à un violent rebond des actes d’achat au printemps alors que l’épidémie s’éloignera ?
Cette situation du marché immobilier neuf est d’autant plus étonnante que le marché de l’ancien semble particulièrement résilient sur la même période. Évidemment, le nombre de prêt octroyé sur le marché dans l’ancien baisse, mais il reste sur des niveaux tout à fait satisfaisants (et surtout, il semble que l’activité reparte violemment depuis quelques semaines aux dires de mes contacts banquiers, courtier en crédit immobilier et autres pros de l’immobilier – avec des prix qui augmentent tout aussi violemment en province).
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