[ad_1]
Ce n’est plus une surprise : après le choc de la pandémie de Covid, les acheteurs se sont rués sur les logements à vendre dans les villes moyennes. Les notaires ont identifié les villes où, entre 2018 et 2021, le nombre de transactions a ainsi le plus explosé.
Les prix n’en finissent plus de grimper en France : +7,9% en moyenne sur un an d’après la dernière note de conjoncture de la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) publiée en mai 2022. Cette flambée a particulièrement touché les villes moyennes et les périphéries des grandes métropoles, et en particulier celles de l’Ouest. En effet, suite aux divers épisodes de confinement et au développement du télétravail, de nombreux citadins se sont mis à rechercher massivement des logements plus grands, et des environnements plus verts, quitte à s’éloigner des centres-villes des plus grandes villes de l’Hexagone. C’est ainsi qu’après le premier confinement, tandis que les prix des logements stagnaient à Paris voire diminuaient légèrement, ils s’envolaient à des vitesses folles à Brest, Quimper, La Rochelle, à Angers ou encore au Mans…
Mais bien évidemment, et les acheteurs s’en doutent aisément, toutes les villes moyennes n’ont pas profité de cette “revanche” sur les grandes métropoles de la même manière. Ainsi, les notaires de France ont réalisé une étude très instructive qui détaille les villes moyennes où les transactions immobilières se sont le plus multipliées, entre l’année 2018 (avant pandémie) et l’année 2021. Au total, 200 communes concernées par le dispositif “Action Coeur de Ville” (un programme national visant à redynamiser les centre-villes de 222 communes au total) ont été passées au crible par les notaires. Dans chaque commune, les notaires ont ainsi comparé l’évolution du nombre de transactions, afin d’identifier celles ayant le plus “profité” du regain d’intérêt des acheteurs.
[ad_2]