Or, argent, immobilier, placements, investissements, gestion de patrimoine
Bruno Le Maire l’a reconnu ce matin, le PIB français devrait reculer au dernier trimestre. De restrictions en confinement partiel ou total, l’économie risque-t-elle de subir un nouveau choc et dans quelles proportions ? Le point de vue de Charles Sannat, fondateur du site insolentiae.com. Ecorama du 23 octobre 2020, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com
Dans une récente conférence sur le monde économique et social de demain, je me montrais très pessimiste sur la capacité des gouvernements à régler les graves problèmes actuels, d’autant que tout laisse à penser que leur objectif principal est le retour au monde d’avant : business as usual ! Il s’agit pourtant d’une occasion unique de se poser des questions sur nos modes de vie, de production et de consommation, pour imaginer le monde d’après. Dans ce contexte, les très sombres prévisions de la Commission européenne rappellent que la crise économique et sociale est devant nous et qu’il faudra bien un jour s’atteler à changer les choses…
… Les grandes banques assèchent les financements et se préparent à saisir les actifs de l’industrie pétrolière et gazière en déclin
Les finances de l’industrie pétrolière et gazière sont si lamentables que les grandes banques qui ont financé, à perte, le boom de la fracturation envisagent maintenant de prendre la mesure inhabituelle de saisir les compagnies pétrolières qui n’ont pas les moyens de rembourser les prêts bancaires.
On June 9, the national debt surged above $26 trillion. Just over one month before that, the debt eclipsed $25 trillion. And 28 days before that, the national debt stood at a mere $24 million. May’s budget shortfall came in at a staggering $398.8 billion, pushing the fiscal 2020 deficit to $1.88 trillion
And there is no end to the borrowing and spending in sight.
The following article originally published at FEE puts the deficit in some disturbing historical context and explains why it matters.
