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Les prix à l’achat sont élevés dans la ville de Charente-Maritime, mais le marché locatif est dynamique. Beaucoup d’étudiants et de jeunes actifs cherchant à s’y loger.
La Rochelle (Charente-Maritime) dispose de nombreux atouts : la ville comprend beaucoup d’étudiants, c’est la deuxième de la région derrière Poitiers, elle est située à proximité des pôles d’activité de Nantes et Bordeaux, et est reliée à Paris en 2 h 45 via la LGV (ligne à grande vitesse).
Comme elle attire en outre les visiteurs toute l’année, beaucoup de jeunes actifs qui travaillent dans le tourisme cherchent à s’y loger. Bref, son marché locatif est très dynamique, mais, en raison de prix élevés, la rentabilité locative n’y est pas extraordinaire. En revanche, comme la vacance y est très faible, un investissement y sera pérenne.
L’hypercentre ancien est longtemps resté l’unique valeur sûre de la ville avec ses petites rues piétonnes bordées d’immeubles de caractère. Mais les prix y sont aujourd’hui très – trop – élevés. « Pour un logement bien placé, il faut compter entre 4 500 et 6 000 euros/m2, selon son état », constate Christophe Gaillard, directeur des agences Laforêt. Pour doper votre rentabilité, préférez le centre élargi et visez une construction plus récente avec un balcon ou un petit jardin. « Depuis le confinement, beaucoup de locataires cherchent un extérieur, un logement qui en est doté se loue donc ultra facilement », confie Augustin Deltombe, gérant de AD Immobilier.
Dans les quartiers résidentiels des parcs et de Jéricho, aux Minimes à côté du port et des facultés, ou entre le boulevard de Cognehors et la gare, les deux pièces rapportent entre 550 et 680 euros/mois. Pour un grand studio, d’au moins 20 mètres carrés pour minimiser la vacance locative, le loyer va de 470 à 540 euros par mois selon le standing. Dans ce centre-ville élargi, les prix oscillent entre 3 800 euros/m2 et 4 500 euros/m2.
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