REVUE DE PRESSE PATRIMOINE - LES MEILLEURS ARTICLES DU WEB
Taux d’intérêt de banque centrale : plus bas jamais vu depuis 2 siècles !
Le système financier mondial n’a jamais vraiment surmonté la crise de 2008, et sa survie n’est assurée que parce que l’ensemble des monnaies fiduciaires ont été mises en gage pour l’assurer – un coup d’œil à l’histoire longue des taux d’intérêt de banque centrale suffit pour le découvrir.
Immobilier de bureau : des fissures au Krach ?
La crise de la COVID-19 a fait chavirer l’immobilier de bureaux. Le marché des grandes métropoles françaises était pourtant jusqu’alors sur une trajectoire ascendante, triomphante même. Plébiscités par les investisseurs, les montants investis progressaient de plus de 17% par an depuis 2009 pour atteindre le record de 25 Md€ en 2019.
Pourquoi 2021 va vous faire regretter 2020 !
Que va-t-il se passer en 2021 ?
Rien de bien !
Rien de bon.
Pourquoi ?
Parce que d’un point de vue analytique soit la pandémie va cesser, et il faudra payer les coûts exorbitants d’une crise économique inédite.
Soit parce que la pandémie ne passera pas, et que les coûts seront encore plus exorbitants qu’exorbitants !!!
L’Etat garantit un prêt de 465 millions d’euros de Lagardère
La France a décidé de garantir un prêt du groupe Lagardère, critiqué pour sa gouvernance, d’une valeur de 465 millions d’euros pour faire face à la pandémie de Covid-19. En cas de défaut de paiement, 80% du remboursement sera effectué par l’Etat.
Le capitalisme a-t-il déjà disparu au profit d’un autre modèle économique ?
La crise qui s’est abattue sur nous en 2020 n’aura épargné que peu de personnes. Les États, les entreprises et les banques en font fait les frais. A coup d’injections de liquidités toutes plus importantes les unes que les autres, les gouvernements, dans leurs coiffes de banques centrales, ont inondé les banques et les entreprises de sommes d’argent leur permettant de survivre.
34.400 chômeurs de plus en novembre 2020… et ce n’est que le début
C’était le paradoxe de cette crise sanitaire et de la crise économique qui y est couplée : les entreprises ont été durement touchées, bars, restaurants cinémas et théâtres sont encore fermés, et pourtant le taux de chômage n’augmentait pas : au contraire, il était en baisse. L’effet d’aubaine a commencé à se dissiper en novembre 2020… et ça risque de n’être que le début.
Le Great Reset et la mort de l’entreprise capitaliste
Après la longue analyse « macro » que nous avons détaillée dans les chapitres précédents, le Great Reset s’attelle à comprendre quelles seront les tendances longues susceptibles de modifier le cours normal des entreprises et de la vie individuelle. Nous basculons ici dans l’analyse « micro » selon le jargon économique habituel. Le chapitre spécifiquement consacré à l’avenir des entreprises paraît de loin le moins convaincant et le plus creux du livre. C’est celui que nous analysons ici.
L’insoutenable légèreté de l’immobilier
L’immobilier en cette toute fin d’année 2020 va insolemment bien. On s’étonne même de sa grande résilience. Une sorte de légèreté dans l’univers grave dans lequel nous vivons. Pas de crise pour l’immobilier, semble-t-il. Tous les observateurs pourtant ne s’accordent pas sur ce diagnostic et voient, derrière la santé, l’asthénie qui se profile. Le sujet est majeur : selon qu’on anticipe ou pas une année 2021 difficile, la politique à mener ne sera pas la même. En fait, tous les indicateurs sont dégradés.
20 à 30% des commerces dits non essentiels risquent de cesser leur activité
Le Conseil du commerce de France (CDCF) a tiré la sonnette d’alarme mardi 29 décembre sur franceinfo : selon William Koeberlé, le président de l’association qui rassemble une trentaine de férédations de commerçants, « 20 à 30% » des commerces dits non-essentiels « auront du mal à rouvrir et à continuer l’activité ».
Pourquoi la flambée de la dette publique française compromet notre avenir ?
Au troisième trimestre 2020, la dette publique de la France a atteint un nouveau double record historique : 2 674,3 milliards d’euros et 116,4 % du PIB Jusqu’où ces niveaux vont-ils flamber ?
Qui détient la dette publique française ? Qui va payer ?
Crier à l’or – Crier au loup
Cela fait 20 ans que certaines personnes et moi-même insistons sur l’importance de l’or, mais moins de 0,5% des actifs financiers mondiaux y sont investis. Rares sont ceux qui ont écouté nos cris.
Déflation ou hyperinflation à venir : quel scénario est le plus probable ?
Faut-il avoir peur du retour de l’inflation, ou au contraire redouter une déflation dans les années à venir ?
Disparition des petites entreprises, obligations sans valeur et solutions en or
Indépendamment de l’opinion de chacun quant au moyen le plus réaliste de trouver l’équilibre entre le risque humain et le risque économique, nous conviendront tous que la COVID-19 a à la fois révélé et accéléré les graves fissures (préexistantes) dans le paysage financier.
Ceux qui, jusque-là, soutenaient un prix de marché libre, un capitalisme équitable et qui avaient la foi dans les orientations politiques de l’élite sont tombés en disgrace.
Pourquoi l’Asie sera désormais le moteur unique de l’économie mondiale !
Système éducatif, dépenses R&D et militaires, marché intérieur : l’Asie est, et restera, la locomotive de l’économie mondiale.
Et ce sera encore plus vrai dans le futur !
La dette mondiale à 365% du PIB, les zombies sont partout !
Nicolas Perrin a conclu sa précédente vidéo en disant que non seulement le fonds euros ne rapportait plus rien, mais qu’il ne pouvait même plus être considéré comme un placement « sans risque ». Il va vous expliquer pourquoi !
Que nous réserve 2021 ?
L’année 2020 restera dans l’histoire comme celle de la pandémie de covid-19 et des confinements/déconfinements, qui ont conduit à doubler la crise sanitaire d’une crise que l’on qualifie d’économique faute de mieux, dans la mesure où pour la première fois, des gouvernements ont été contraints de mettre volontairement leur économie (partiellement) à l’arrêt. Mais il est désormais évident que le corps social français souffre. Et à ce stade, il serait prématuré d’entrevoir à court terme une amélioration…
Une crise économique majeure au coût sans précédent
Avec le Covid-19, la France a connu une récession historique à laquelle l’Etat a répondu par le «quoi qu’il en coûte». De quoi limiter la casse, pour l’instant. Mais ces milliards d’argent public sont-ils une réponse à l’aggravation du chômage ?
Notre économie n’était-elle pas déjà malade avant la pandémie ?
Un nouveau cygne noir pour les marchés ?
18.000 milliards de dollars : c’est le montant des dettes souveraines qui sont à taux négatifs dans le monde.
Après la pandémie, le retour de l’inflation va-t-il être notre nouveau cygne noir ?
Déflation : mort du système ou modèle économique d’avenir ?
Beaucoup de journalistes expliquent que la déflation est la mort de l’économie. Et dans notre économie telle qu’elle est construite actuellement, c’est-à-dire à base de dettes, c’est malheureusement vrai.
Pour autant, il ne faut jamais oublier qu’un modèle économique inflationniste ou déflationniste, c’est avant tout un choix de société qui consiste à décider quel type de croissance nous voulons et comment est-ce que l’on souhaite valoriser l’épargne des ménages.
L’or assurance pour une année 2021 de tous les dangers
En 2021, le consensus table sur une forte reprise économique mondiale, des taux d’intérêts nominaux maintenus très bas par les banques centrales imprimant de la monnaie, un probable retour de pressions inflationnistes, et des mesures de soutien budgétaires importantes.
Une loi prépare l’interdiction de sortir du cash hors de France
Pendant que tout le monde parle du COVID 19, des lois liberticides avancent à une vitesse éclair dans l’indifférence générale. Ainsi, une loi de transposition d’un règlement européen est actuellement discutée au Sénat.
Elle permettra aux douanes de saisir le cash (inférieur à 10.000€) que vous emmenez en vacances avec vous à l’étranger. Voilà un moyen commode de vous empêcher de quitter la France en cas de problème.
Hausse de la facture d’électricité: le poids des énergies renouvelables
Les Français devront payer plus cher leur électricité. Outre le confinement ou la régulation du marché exigée par l’Europe, le poids de la transition énergétique est prépondérant dans la hausse des taxes sur l’électricité. Fabien Bouglé, connu pour ses prises de positions anti-éolien, dénonce un jeu de dupes dont sont victimes les contribuables.
L’inflation est notre futur, mais personne ne connait le calendrier
Je pense que l’on ne peut deviner le calendrier du retour de l’inflation: même ce qui se passe maintenant, gonflement du bilan des banques centrales ne nous donne aucune information sur le devenir de l’inflation.
On a eu du gonflement du bilan des banques centrales pendant 12 ans et cela n’a rien donné, au contraire. Les tendances déflationnistes se sont renforcées!
Bilan 2020 : l’an foiré…
Retour donc sur 2020, l’an foiré, en graphiques et tableaux pédagogiques et sans langue de bois…
INVESTIR DANS L'IMMOBILIER LOCATIF
Les places de parking apparaissent comme un investissement sûr
Des experts du secteur immobilier tels que Sandra Daza, PDG de Gesvalt; Mikel Echavarren, PDG de Colliers et Ismael Clemente, PDG de Merlin, désignent les places de parking comme un investissement sûr après le covid-19. La croissance des rendements depuis la crise de 2008, son prix (inférieur à un logement), les faibles coûts d’entretien et l’utilisation accrue des véhicules privés au détriment des transports en commun sont les clés pour que cet actif se renforce en tant qu’investissement post-COVID .
Crédit immobilier : les ménages modestes de plus en plus privés de crédit
Le taux moyen pour un crédit sur 20 ans s’établit à 1,21% en juillet 2020.
La publication, le 4 août 2020, de la dernière édition du baromètre Crédit Logement/CSA sur le marché des crédits immobiliers en France pour le mois de juillet 2020 annonce une bonne nouvelle : les taux sont en baisse. Mais cette baisse est simplement le résultat mécanique de ce qui est, en réalité, une mauvaise nouvelle : les ménages modestes ont de moins en moins accès au crédit.
Ces logements de moins de 9 mètres carrés à vendre plus de 100.000 euros dans la capitale
On le sait, les logements à Paris coûtent extraordinairement chers : plus de 10.400 euros le mètre carré en moyenne au premier trimestre 2020, selon les notaires. Et crise épidémique ou non, ces prix stratosphériques n’ont – pour l’instant – pas encore l’air pressés de redescendre. Tout comme dans la plupart des grandes villes, par ailleurs. Les notaires prévoient ainsi des prix moyens tournant entre 10.700 et 10.800 euros le mètre carré entre juin et septembre dans la capitale.
L’immobilier parisien frappe encore !
À vendre « Coquette studette »
L’annonce relayée sur Twitter décrit la studette. Située dans le Xème arrondissement de Paris au métro République, cette petite studette pleine de caractère pourrait sûrement faire votre bonheur. 5,67 mètres carrés de paradis situés au cinquième étage, sans ascenseur, d’un immeuble ancien « bien entretenu ».
Immobilier : pourquoi les prix finiront sans doute par baisser
Le prix de l’immobilier ne semble pas affecté par la crise économique et sanitaire. Pour le moment. Des facteurs techniques et temporaires expliquent probablement cette apparente résistance. Mais à un horizon de quelques mois, une baisse semble inéluctable. Notre analyse.
Built-to-rent : la formule pour élever des maisons à louer qui réveille l’appétit des investisseurs
La crise des coronavirus a définitivement lancé le modèle build to rent en Espagne, selon l’avis de plusieurs experts du secteur immobilier qui coïncident pour désigner cette entreprise comme le grand bénéficiaire du secteur résidentiel. Les consultants estiment que le bâtiment à louer s’installera définitivement dans les années à venir, tandis que le “ build to rent prime ” ou le luxe dans des villes comme Madrid, Barcelone, Malaga, Bilbao ou Valence commence à éveiller l’appétit des investisseurs.
Passer son logement Airbnb en location longue durée va devenir plus rentable
Le tourisme peine à redémarrer. Les propriétaires de logements Airbnb ont aujourd’hui trois solutions : laisser leur logement en location courte durée, le penser en location longue durée ou faire un mélange des deux. L’agence de gestion locative Flatlooker a analysé les trois possibilités.
Les New-Yorkais déménagent en banlieue provoquant la flambée des prix de l’immobilier
Face à l’épidémie de coronavirus, de nombreux New-Yorkais ne veulent plus rester dans leur ville. Autour de la métropole, les prix immobiliers flambent.
La location longue durée devient plus rentable pour Airbnb
Les propriétaires de logements en location de courte durée, via Airbnb par exemple, pâtissent eux aussi de la baisse de touristes. Mais, selon l’agence Flatlooker, des solutions existent pour maximiser leurs revenus.
INVESTIR DANS L'OR & L'ARGENT PHYSIQUE
BOURSE, FINANCE & PLACEMENTS FINANCIERS
CRISES FINANCIÈRES
Faillites d’entreprises en masse à partir du 7 octobre à 9h00 !
Mais non ce n’est pas de la voyance, c’est de l’évidence !
« Selon Arnaud Marion, spécialiste reconnu de la gestion de crise et du redressement des entreprises, le pire est à venir. « Les statistiques sur les défaillances d’entreprises ne reflètent pas la réalité ». En juin, selon les données publiées par la Banque de France, elles ont diminué de 25,4 % par rapport à la période équivalente en 2019. Comment expliquer ce paradoxe alors que « beaucoup d’entreprises qui n’ont pas obtenu de prêt garanti par l’Etat sont déjà au tapis », selon Arnaud Marion. « Ceci s’explique à la fois par la période de confinement qui a affecté le fonctionnement des juridictions commerciales, et par l’adaptation de la réglementation qui accorde temporairement des délais supplémentaires tant pour apprécier l’état de cessation de paiement que pour le déclarer », a expliqué un communiqué de la Banque de France« .
Zone euro : et voici venue l’heure de la déflation !
Les prix en France ont baissé de 0,1% en août 2020.
Vous pensiez avoir tout vu concernant la crise économique liée à la pandémie de Covid-19 ? Détrompez-vous : après l’annonce massive d’une récession généralisée en Zone euro, la France table sur une chute du PIB de 11% en 2020 et les autres pays européens ne sont pas en reste, voilà que la Zone euro est entrée dans une période de déflation. Et oui, ce n’est pas une bonne nouvelle.
L’Europe va-t-elle sombrer dans la déflation ?
« Le spectre de la déflation menace l’Europe » c’est le titre de cet article du Figaro qui revient sur les derniers chiffres de l’inflation en Europe, des chiffres qui ne sont pas bons, des chiffres qui sont inquiétants et qui montrent plutôt une inflation négative que positive.
Et lorsque l’inflation est négative, cela porte le nom de déflation.
Pas de krach…vers une hausse éternelle ?
Je pensais qu’il y aurait un krach cet été avec la reprise de la circulation du virus qui devait être perceptible à partir du 15 août et donc faire craindre de nouvelles perturbations économiques.
Logique.
A partir du 15 août comme c’était prévisible, le nombre de contaminations a significativement augmenté et les cours de bourses aussi.
Voilà qui est fichtrement intéressant comme cas de figure, et qui nécessite que l’on se penche dessus pour analyser le phénomène et tenter de comprendre ce qu’il s’est passé.